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Faune aquatique |
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Le Rhôme à Lachapelle sous Chaux est une
rivière de 1ere catégorie.
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De
la source à la mer, les caractéristiques morpho-dynamiques d'un cours d'eau
change et ses poissons aussi. Même si beaucoup d'espèces sont dotées d'une
grande capacité d'adaptation, la plupart ne prospèrent vraiment que dans un lit,
des berges et une qualité d'eau qui correspondent à leurs besoins. Le
type de peuplement détermine le type de cours d'eau.
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La partie haute du Rhôme |
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Truite
Fario |
Il
existe une grande variété de truites et une multitude de souches mais les
spécialistes s'accordent à dire que toutes ces formes relèvent d'une même
espèce : la truite fario.
Donc, si l'on fait abstraction de la diversité des robes qu'elle emprunte,
en fonction de son habitat, la truite-type a un corps fuselé, bien adapté à
la nage en eau vive. Sa tête est conique et sa bouche armée de petites dents
pointues. Son dos et ses flancs, de couleur brune, dorée ou argentée, sont
piquetés de points sombres et colorés (souvent rouges). |
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Alimentation :
La
truite est un carnassier, au régime alimentaire très varié : invertébrés,
insectes, vers, mollusques, crustacés, batraciens et petits poissons,
notamment les vairons
Habitat :
La
truite fario est le symbole des eaux pures, limpides et (relativement)
épargnées par la pollution. Elle donne son nom à la zone piscicole à l'amont
des rivières, celle des torrents et des cours d'eau riches en oxygène. Mais
elle s'adapte aussi aux eaux plus chaudes des rivières de plaine.
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Reproduction :
En
automne, les géniteurs remontent la rivière, à la recherche de fonds de
graviers, les frayères, qu'ils trouvent souvent dans les petits tributaires
(affluents). Au cœur de l'hiver, quand l'eau est entre 5 et 10°C, chaque
femelle creuse un nid dans les cailloux et y pond quelques centaines d'œufs
(en principe : 1000 à 2000 par kilo de son poids) que le mâle féconde.
Recouverts de cailloux, les œufs éclosent après environ deux mois. |
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Chabot |
Dépourvu de vessie natatoire,
c'est un nageur médiocre qui se cache sous les pierres, réussissant l'exploit de
passer inaperçu tout en étant abondant. Une tête énorme, un corps conique marbré
de brun, de très amples nageoires pectorales, des écailles minuscules…
le chabot atteint 15
centimètres tout au plus.
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Habitat :
Un peu partout en France, dans les rivières à truites et les lacs bien oxygénés.
Alimentation :
Invertébrés, œufs et alevins de poissons. |
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Reproduction : En mars-avril, la femelle dépose de 100 à 500 œufs, dans un nid que le mâle a
creusé et qu'il protège pendant la vingtaine de jours que dure l'incubation. |
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La partie basse du Rhôme |
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Truite arc en ciel |
Corps en forme de torpille (torpédiforme), un peu aplati latéralement.
Museau arrondi, tête un peu plus ronde que chez la truite de rivière.
Présence d’une nageoire adipeuse entre les nageoires dorsale et caudale.
Ecailles très petites. Dos vert gris à bleuâtre; flancs plus clairs,
généralement avec une bande longitudinale irisée; tête, corps, nageoires
dorsale, adipeuse et caudale densément parsemés de points noirs; ventre
blanchâtre. |
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Alimentation : Très
forte croissance. Large éventail alimentaire, depuis les petits organismes
de toute sorte comme les larves d’insectes, petits crustacés et insectes
volants jusqu’aux petits poissons.
Habitat : La truite
arc-en-ciel est moins sensible que la truite de rivière en ce qui concerne
le taux d’oxygène, la température et la qualité de l’eau. Elle a aussi des
exigences moins élevées envers la morphologie des eaux. Les peuplements se
maintiennent généralement grâce aux rempoissonnements, mais on a pu vérifier
qu’une reproduction naturelle existait. |
Reproduction :
Reproduction
de décembre à mai (reproduction précoce ou tardive selon la souche). Nombre
d’œufs 1600-2000 par kg du poids des femelles. Durée d’incubation 380-400
degrés-jours. Comme elle creuse ses frayères aux mêmes endroits que la
truite fario, mais quelques semaines plus tard, et qu’elle détruit ainsi les
œufs déjà enterrés, la truite arc-en-ciel peut concurrencer la truite de
rivière dans certains cours d’eau. |
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Lamproie
de planer |
Le
corps est serpentiforme, les nageoires sont peu développées ; les deux
dorsales sont en contact chez les adultes matures. Le dos est bleu-vert, les
flancs jaunes, et la face ventrale blanche.
Elle possède une plaque maxillaire garnie d'une dent de chaque coté et 5 à 9
dents sur la plaque mandibulaire. Le disque buccal ne porte de dents
labiales que dans Sa partie supérieure.
Taille : de 12 à 20 cm. |
Alimentation :
Les
larves filtrent les micro-organismes, les adultes ne se nourrissent pas.
Habitat : Les
larves filtrent les micro-organismes, les adultes ne se nourrissent pas.Les
larves (ammocètes) vivent pendant 3 à 5 ans enfouies dans le sédiment, où
elles se nourrissent de particules organiques.
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Reproduction : La
reproduction a lieu en Avril-mai, les 1000 à 1500 ovules sont déposés dans
un nid de sable ou de graviers. Les larves vivent enfouies dans la vase
pendant 3 à 5 ans puis se métamorphosent: les yeux se développent,
l'appareil digestif s'atrophie. |
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Loche
franche |
Poisson très commun de la famille des Balitoridés, la Loche vit en eau
claire et fraîche, dans les rivières et ruisseaux et même en eau faiblement
saumâtre. |
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Alimentation : Elle
se nourrit de petits organismes qu'elle trouve sur le fond, larves de
chironomes surtout.
Habitat :
Elle préfère un fond sableux à
caillouteux où elle se dissimule, pendant la journée, sous les racines et
les grosses pierres, souvent en groupe de 3 à 5 individus.
C'est un poisson dont les mœurs sont voisines de la Loche de rivière. Elle
est active au crépuscule et la nuit. |
Reproduction :
Elle
fraie des mois d'avril à juillet. Des tubercules de fraie apparaissent chez
les deux sexes sur le corps et les nageoires. La ponte est fractionnée (2 à
3 fois), et les œufs sont déposés sur les racines et les plantes aquatiques
ou directement sur le sol. |
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Goujon |
Très souvent considéré comme
un poisson aimant les eaux pures et claires, il pourrait
s'accommoder à de très nombreux milieux allant des eaux troubles à
celles chargées en matière organique en passant par celles peu courantes à
stagnantes. Il redoute les eaux trop froides surtout en période estivale
(inférieure à 15°C). |
Alimentation : Le
goujon se nourrit de larves d'insectes, de vers, crustacés et
occasionnellement d'œufs de poisson, qu'il aspire au moyen de sa bouche
protractile. Il mange aussi pendant la période hivernale.
Habitat : Pour
autant, le goujon est une espèce exigeante vis à vis des fonds. Sa préférence
va vers les sables et les graviers, l'espèce ayant tendance à fuir les
substrats (fond) argileux et vaseux.
Il est grégaire et typiquement de fond. En rivière il se tient souvent au
niveau des remous peu violents, à l'aval des ponts des écluses ou des ponts. |
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Reproduction :
Le
frai prend place au printemps des mois de mai à juin. Lors de cette période
le mâle (comme certains cyprinidés) se pare d'une éruption de boutons de
fraie sur la tête et sur la partie antérieure du corps.
La ponte serait nocturne, en zone de courant, sur des fonds graveleux
parfois sableux ou sur des alluvions hétérogènes de pierres ou de végétaux
pour des températures voisines de 17 à 18°C. |
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Vairon |
Poisson d'eau claire claire et courante, définie comme étant
une espèce accompagnatrice de la truite, le vairon colonise tous les
ruisseaux, et petites rivières salmonicoles. On peut également le retrouver
en lac si l'eau est limpide ce qui est souvent le cas des lacs d'altitude.
D'ailleurs le vairon est le Cyprinidae le plus apical puisqu'il se développe
jusqu'à 2500 m d'altitude. |
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Alimentation : Le
régime alimentaire du vairon est assez diversifié. C'est un régime mixte à
prédominance animale ou végétale selon les biotopes et l'âge des poissons :
larves d'insectes aquatiques, crustacés, vers, algues filamenteuses, élément
végétaux....
Habitat : Le
vairon semble rechercher les zones de courants modérés, les bras latéraux
avec de la végétation, les zones d'ombre, les fonds pierreux-graveleux ou
de mélange gravier-sable-vase. Pour ce qui concerne le substrat (nature des
fonds), le vairon a tout de même une préférence marquée pour des particules
minérales de diamètre compris entre 5 et 10 mm et ceci quelque soit la
hauteur d'eau, le nombre et l'âge des poissons.
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Reproduction : La
ponte a lieu en mai-juin dans l'eau à 15°C. Le vairon se reproduit en banc,
sur les pierres et les graviers dans les eaux courantes, oxygénées et à une
profondeur faible de l'ordre de quelques centimètres. Les œufs sont déposés
en galettes et éclosent 5 à 10 jours après la ponte. |
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Chevesne |
Le chevesne est un poisson ubiquiste (apprécie des
milieux très variés). Il vit dans les rivières depuis la région
inférieure de la zone à truite jusqu'aux parties bien courantes de la zone à
brème. On le trouve aussi en eaux calmes à stagnantes. |
Alimentation : Le
chevesne est un poisson omnivore. Sa nourriture se compose d'insectes
aériens, toutes sortes d'insectes aquatiques, de vers, de mollusques,
d'œufs de poissons et souvent de plantes et de graines.
Habitat : En
terme d'habitat, malgré son caractère ubiquiste, le chevesne va préférer les
eaux courantes, rapides sur fond de graviers et de pierres. On le retrouve
souvent autour des piles de ponts, dans les remous à proximité des petites
cascades. |
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Reproduction : La
fraie a lieu des mois d'avril à juin. Durant cette période les mâles
présentent de petits tubercules de frai. |
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Omble de fontaine |
Introduit en
France à partir de 1860, ce salmonidé d'Amérique du Nord est un poisson haut
en couleurs : un dos et des flancs vert foncé, constellés de points jaunes
et de taches vermiculées (sinueuses comme un ver).
Des nageoires cramoisies, bordées d'un liseré blanc et noir ; un ventre à
gros points rouges qui, chez le mâle, vire à l'incarnat pendant la période
du frai. |
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Alimentation : Invertébrés,
insectes, petits poissons. Habitat :
Acclimaté
dans les lacs de montagne (même en Corse) et certaines rivières aux eaux
froides et oxygénées, habitat qu’il partage avec la truite.
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Reproduction :
Au
même moment et de la même manière que la truite fario, avec laquelle il
s'hybride (tout comme avec l'omble
chevalier). |
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Les espèces
suivantes ne devraient pas se trouver dans le Rhôme, "mais il
y a les rejets d'étang" ! |
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:
Brochet
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Seul
représentant de la famille des Esocidés dans nos eaux douces, le brochet vit
dans les eaux calmes de la zone à brème, éventuellement dans les plats et
les anses abritées des eaux courantes de la zone à barbeau. On le rencontre
aussi dans des eaux stagnantes, des eaux saumâtres, dans les lacs de plaines
et de faibles altitudes (jusqu'à 1500m). |
Alimentation : Poisson
carnassier, le brochet applique sa prédation en solitaire sur une grande
majorité des espèces piscicoles. D'une grande voracité, il chasse à l'affût.
Habitat : il colonisera les eaux claires
présentant une végétation immergée et de bordure importante, les eaux
turbides étant acceptées mais pouvant entraîner une diminution de population
au profit du sandre.
Étant peu exigeant vis à vis des températures, le brochet se situe
préférentiellement dans les eaux peu profondes, proche des rives, au niveau
des herbiers d'hélophytes et d'hydrophytes.
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Reproduction : La
fraie prend place des mois de février à mai lorsque la température des eaux
fluctue entre 6 et 11 °C. |
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Carpe |
La carpe commune
est le poisson d’origine. Son dos est vert brun et son ventre jaunâtre. Son
corps, hydrodynamique, est couvert de grandes écailles. sa tête est massive
et triangulaire. Sa bouche, protractile (qui s’allonge vers l’avant), est
flanquée de deux barbillons. sa nageoire dorsale possède un aiguillon
cranté. |
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Alimentation : Plancton
pour les alevins, puces d’eau, daphnies et diatomées pour les jeunes; tout
venant pour les carpeaux et les adultes qui sont fouisseurs et omnivores et
mangent débris végétaux, racines, jeunes pousses, vers, larves d’insectes,
crustacés, mollusques et, plus rarement, alevins d’autres poissons.
Habitat : La
carpe est un habitant typique des eaux chaudes et calmes ou à courant lent.
Sauf en région montagneuse, elle est présente partout dans les fleuves, les
rivières, les lacs et les étangs. Poisson grégaire, elle vit en troupes,
mais les gros sujets âgés sont volontiers
solitaires.
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Reproduction : En
mai et juin, dès que la température de l’eau atteint 19°C, leur parade
nuptiale est bruyante : plusieurs mâles se disputent une femelle, laquelle
déposera ses œufs sur des herbiers ou des racines à faible profondeur. Les
alevins naissent 4 à 8 jours plus tard. Dans les eaux chaudes et riches en
nourriture, leur croissance est rapide. |
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Gardon |
Son
corps fusiforme mais assez haut est entièrement recouvert d'écailles
brillantes. Son dos est vert foncé avec des nuances bleutées. A l'exception
des pectorales, ses nageoires sont teintées de rouge. Sa taille adulte varie
de 5 à 30 centimètres, et il peut peser jusqu'à un kilo.
Il fournit en outre aux amateurs d'honorables fritures. |
Alimentation : De
nature opportuniste, il goûte à tout : zooplancton surtout, larves,
gammares, petits mollusques, insectes et végétaux (on le pêche à la mousse).
Habitat : Il
est présent dans toutes les eaux tempérées des étangs, lacs, rivières et
fleuves , pourvu qu'il puisse se tenir à l'abri des courants. Désormais, on
le rencontre sur l’ancien territoire de la truite fario (zones de première
catégorie dégradées), alors que son espace de prédilection reste plutôt dans
la zone à brème où les carnassiers en font d'ailleurs une grosse
consommation. |
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Reproduction :
Entre
avril et juin, la femelle dépose, dans les herbiers des berges, de 50 000 à
100 000 œufs dont l'incubation dure 3 à 4 jours, puis les larves écloses se
fixent à la végétation, grâce à leurs glandes adhésives. Quand la
température est assez chaude, le départ des alevins en pleine eau, est
l’affaire à nouveau de 3 ou 4 jours. |
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Loche d'étang |
Le corps est cylindrique, le dos
est brun, les flancs possèdent plusieurs bandes foncées longitudinales, le
ventre est blanc. La bouche étroite est entourée de 10 barbillons
sensoriels, 4 sur la mâchoire supérieure, 6 sur la mâchoire inférieure. La
nageoire caudale est arrondie, la ligne latérale incomplète, la narine
antérieure est tubulaire. |
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Alimentation : Elle
se nourrit de petits organismes qu'elle trouve sur le fond, larves de
chironomes surtout.
Habitat :
La
loche d'étang fréquente les eaux stagnantes et peu profondes à fond vaseux
(mares, étangs); durant la journée elle est enfouie dans la vase.
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Reproduction :
La
reproduction a lieu en avril-juin parmi la végétation des eaux profondes.
L'incubation dure 9 à 10 jours. Les larves naissent avec des branchies
externes. |
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Perche |
Poisson de la famille des Percidés, la perche affectionne les milieux
tempérés plutôt froids, et vit dans les eaux stagnantes ou peu courantes. |
Alimentation : La
nourriture des Perches est essentiellement constituée de larves d'insectes
et de crustacés (zooplancton en lac) mais aussi de poissons et de vers.
Habitat : Il
s'agit d'un poisson très courant, qu'on retrouve fréquemment le long des
herbiers ou des joncs, au voisinage des ponts, aux abords des remous,
partout où il y a des enrochements ou du bois mort.
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Reproduction :
La
reproduction a lieu de fin mars à début juin dès que la température de l'eau
atteint 13 ou 14°C. Le frai a lieu en eaux tranquilles sur des plantes
aquatiques, des rives engazonnées, des racines et des branches immergées. |
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Perche soleil |
Introduite d'Amérique en Europe au début du XXème siècle, on la retrouve
maintenant en maintes régions d'Europe.
La Perche soleil est un poisson des eaux tempérées, faiblement courantes à
stagnantes, (basse et moyenne altitude) qui préfère les eaux claires. |
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Alimentation : Poisson
carnivore, la Perche soleil a un régime alimentaire composé de larves
d'insectes, d'alevins, de crustacés mais également d'œufs ainsi que de vers
et de mollusques.
Habitat : Colonisant
les zones envahies par la végétation aquatique, elle préfère les fonds
sableux, marneux et argileux. |
Reproduction : La
fraie peut se dérouler de mai à début août quand la température atteint 15 à
18°C. |
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Poisson chat |
Originaire des États-Unis, le poisson chat est
le seul représentant de la famille des bagridés en France. Introduit
accidentellement à la fin du XIXème siècle, il s'est parfaitement adapté
aux milieux aquatiques Français. Sa taille maximum est cependant plus faible
que dans son pays d'origine, ceci serait dû à la température.
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Habitat : Amateur
d'eau calme et tempérée, il se développe dans les lacs, étangs, canaux et
cours d'eau de plaine.
Aimant les fonds vaseux et les eaux chaudes riches en végétation, les
poissons chats sont capables de résister à la dessiccation lorsqu'ils peuvent
s'envaser, et même à une émersion de plusieurs heures.
Alimentation : Poisson omnivore très vorace, également
sujet au cannibalisme, son régime alimentaire est très varié, composé
d'Amphipodes, de Mollusques, de larves de Diptères, de Trichoptères, ainsi
que d'œufs, de poissons et d'écrevisses. |
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Reproduction : La fraie peut s'étendre de mai à juillet quand la
température atteint 16 à 20°C. Après la ponte, les œufs sont protégés et
aérés par le couple (ou par le mâle suivant les auteurs) jusqu'à l'éclosion. |
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Rotengle |
Le Rotengle
est une espèce qui affectionne tout particulièrement les cours d'eau à
écoulement calme, les canaux et les étangs. |
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Alimentation : Il
se nourrit de larves d'insectes, d'insectes aériens, de zooplancton avec
accessoirement quelques alevins, mollusques, et crustacés. Les végétaux
supérieurs et les algues font aussi partis de son alimentation.
Habitat : C'est
un poisson des herbiers, mais on peut le retrouver en eau claire sur fond
vaseux, aux abords des berges abruptes, des rochers éboulés, dans les anses
où viennent se briser les courants en tourbillons. |
Reproduction :
Le
rotengle se reproduit pendant les mois de mai à juillet pour des
températures supérieures à 15°C. |
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Tanche |
La tanche est un poisson des eaux calmes et stagnantes que
l'on rencontre fréquemment dans les rivières de plaines, les lacs et les
étangs jusqu'à 1600 m d'altitude.
Poisson eurytherme (absence d'exigence stricte vis à vis de la température),
ayant une activité normale entre 12 et 32°C et pouvant supporter plus de
35°C. |
Alimentation : Pour
les juvéniles, l'alimentation est composée pour l'essentiel de Copépodes, de
Cladocères et d'Amphipodes. Les individus les plus âgés consomment des
préférentiellement des Ephéméroptère, des Odonates, de Diptères, des
Coléoptères et des mollusques.
Habitat : Ce
poisson se tient près du fond ou sous les feuilles de nénuphars en été, les
crues la font se réfugier dans les fosses à fond de vase, dans laquelle elle
s'enfouit en hiver sans qu'il existe un arrêt complet d'activité. |
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Reproduction :
La
reproduction prend place de mai à août et plus particulièrement en
juin-juillet quand les températures sont comprises entre 16°C et 23°C. |
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Ecrevisse à pieds blancs
(Austropotamobius
pallipes) - Espèce protégée |
Les
écrevisses sont des crustacés qui mènent une existence nocturne. Sur les six
espèces recensées en France, deux sont autochtones : l'écrevisse à pieds
blancs - verte avec des nuances de gris, un ventre blanchâtre et un
rostre triangulaire. |
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Alimentation :
Larves
d'insectes, mollusques et poissons morts, des débris végétaux.
Habitat : Hôte
des rivières à truites, présente à peu près partout en France, l'écrevisse à
pieds blancs a beaucoup souffert des pollutions et des rectifications de
rivières. Son avenir est menacé par l'arrivée de l'écrevisse signal
qui est porteuse de la peste écrevisse. |
Reproduction :
A
l'automne, les femelles pondent moins d'une centaine d'œufs. |
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Ecrevisse américaine
(Orcomectes
limosus) |
Les
écrevisses sont des crustacés qui mènent une existence nocturne.
L'américaine est particulièrement prolifique. Sont introduction est récente. |
Alimentation :
Déchets
végétaux, mollusques, larves d'insectes, œufs de poissons, déchets d'animaux.
Habitat :
L'Américaine est familières des milieux
médiocres.
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Reproduction : A
l'automne, les femelles, dont le frai débute en avril, prondent entre 200 et 400 œufs. |
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Ecrevisse signal
(Pacifastacus leniusculus) - Introduction et
transport vivant interdits |
L'écrevisse "signal"
ou de "Californie" (ainsi nommée parce que chaque pince porte
une tache blanche) est la plus grande de toutes
(jusqu'à 15 cm). |
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Alimentation :
Principalement végétarienne, cette écrevisse mange des algues, mais aussi
des feuilles mortes, des racines, et quelques plantes aquatiques. Son régime
semble néanmoins contenir 10% de protéines animales, au moins à partir de sa
seconde année. Elle mange alors du zooplancton, des crevettes d’eau douce,
et des larves (de moustique par exemple).
Habitat :
D’une très grande faculté d’adaptation,
caractéristique typique des espèces invasives, cette écrevisses accepte des
paramètres de maintenance assez larges. Néanmoins, elle privilégie les eaux
lentes et profondes, bien oxygénée. |
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Grenouille |
Batracien des zones
humides que les drainages réduisent d'année en année, c'est la plus menacée
de nos grenouilles. Elle mesure de 4 à 7 centimètres. Elle est verte avec
des marbrures brunes ; sa peau est visqueuse, ses pattes palmées ; ses gros
yeux ont des pupilles horizontales. |
Alimentation : Elle
se nourrit d’invertébrés, d’insectes, d’alevins, de petites grenouilles,
parfois de petits rongeurs. Les têtards mangent principalement du plancton
et des débris organiques.
Habitat :
Elle
vit dans l'eau des mares, des étangs et des rivières calmes,
ne laissant dépasser que les yeux, et se réchauffe volontiers sur les rives
ensoleillées. |
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Reproduction :
Au
printemps, la femelle dépose 1500 à 7000 œufs dans la végétation immergée.
Les têtards deviennent grenouilles en 3 ou 4 mois. |
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Salamandre - Espèce protégée |
Salamandre, nom donné en français à plusieurs espèces
d'amphibiens urodèles, dont la salamandre commune, qui
possèdent la capacité de régénérer certaines parties de
leur corps après amputation. |
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Alimentation :
Les salamandres adultes se
nourrissent dans une large mesure d'organismes invertébrés
comme des cloportes, par exemple Porcellio scaber,
de petits coléoptères tendres ainsi que de petits
spécimens de limaces. Les vers de terre (Lumbricidae) sont
également des proies très appréciées, ainsi que les
araignées et les insectes qui sont fréquemment approchés
"à la manière du caméléon" et ensuite, selon leur
taille, attrapés soit avec la langue soit par un saut
suivi d'un coup de mâchoire.
Habitat :
elle vit
près des cours d'eau ou des mares peu profondes.
Elle reste habituellement
cachée dans la journée dans des cavités humides, sous des
pierres ou des écorces, ou dans des troncs d'arbres
pourris.
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Reproduction :
Du printemps au début de
l'été, elles s'accouplent, sur terre ou plus rarement,
dans l'eau très peu profonde. Le mâle suit la femelle, la
bouscule de la tête, puis essaie de la chevaucher. Le mâle
se glisse sous elle. La femelle saisit les spermatophores
et les introduit elle-même dans son cloaque, à l'aide de
ses pattes postérieures. Les ovules sont ainsi gardés,
sous un caillou, dans une eau aérée et peu profonde. Ils
seront fécondés et se développeront jusqu'à ce qu'ils
soient prêts à être éclore, le plus souvent au printemps.
De 2 à 5 douzaines de petites larves à quatre membres,
brunâtres tachées de noir, longues de 25 mm environ,
naîtront. Ces nouveau-nés possèdent en arrière de la tête,
trois paires de branchies plumeuses qui leur permettent
d'absorber l'oxygène dissous dans l'eau. |
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Couleuvre à collier
- Toutes les
couleuvres sont des espèces protégées |
Ce reptile vit à proximité de l'eau, se rencontre auprès
des étangs, des fossés, des ruisseaux. C'est un grand serpent au corps
massif, à la tête large, au cou bien marqué. Les écailles
du dos sont carénées, donnant une apparence rugueuse à
l'animal. Les adultes mesurent le plus souvent de 70 à
130 cm, rarement davantage (femelles). La coloration
varie du gris clair au vert olive ou au brun, avec des
barres foncées sur les flancs. Le collier caractéristique
est bordé en arrière d'un double croissant sombre. |
Alimentation :
Elles se nourrissent
surtout de proies aquatiques, batraciens et poissons,
avalés entiers et vivants. La conformation de la bouche
des serpents ne leur permet ni de couper ni de mâcher leur
proie.
Habitat : Elle s'exposent au soleil sur
les rochers ou les berges. Dérangées, elles fuient dans l'eau où elles nagent et plongent
avec facilité.
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Reproduction : Au printemps, on peut observer de
grands rassemblements dans de lieux propices à la
reproduction, les mâles étant toujours plus nombreux que
les femelles. L'accouplement peut durer plusieurs heures.
De juin à août, la ponte (les œufs sont de forme ovale et
blancs) se fait parfois dans le fumier, chaud et humide,
sinon dans des tas de végétaux en décomposition, troncs
abîmés, tourbe ou roseaux pourrissants. La femelle dépose
entre 6 et 30 œufs sous le feuillage, dans la berge ou
dans la mousse près de l'eau. Ces œufs ont une coque
élastique ressemblant à du cuir. Les petits, d'une
longueur de 16 cm environ naissent au bout de deux mois ou
plus tôt lorsque le climat est plus clément. |
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Triton |
Les tritons
sont de paisibles amphibiens dont la taille varie entre 10
à 30 cm selon les espèces. Ils vivent près de points d'eau
calme comme les petits étangs ou les ornières (flaques
d'eau profondes sur le coté les chemins boueux) et ne
rejoignent l'eau que si leur peau s'assèche ou pour se
reproduire. Certaines espèces vivent jusqu'à 15 ans. |
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Alimentation :
Il
se nourrit principalement de larves d'insectes aquatiques, surtout de
moucherons.
Habitat : Le
Triton habite une nappe d'eau tranquille où il y a beaucoup de plantes
submergées.
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Reproduction : La
femelle pond ses œufs un à un et les fixe aux feuilles et tiges des plantes
submergées. Dès le mois d'août ou de septembre la larve se transforme en
jeune pour passer une période sur terre avant de se transformer finalement
en triton adulte. |
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Trichoptères |
Les trichoptères sont des insectes ailés au développement
aquatique. Les adultes possèdent des ailes velues, de
longues antennes et de longues pattes. La plupart des
espèces préfèrent les eaux calmes ou stagnantes mais
certaines vivent uniquement dans les torrents ou les
ruisseaux rapides. Environ 400 espèces vivent en Europe
occidentale. |
Trichoptère Phrygane
(larve et adulte) |
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Leurs ailes sont couvertes de courtes soies, ce qui les
différencie des ailes écailleuses des vrais papillons. Il
en existe environ quatre mille espèces dans le monde. Les
adultes mesurent de 1,5 à 2,5 cm de long. De nombreuses
espèces vivent près des eaux douces, quelques-unes sont
marines. Leurs œufs sont enveloppés dans des masses
gélatineuses vertes, et déposés sur les plantes
aquatiques. Les larves sont allongées avec une tête dure,
un thorax et un abdomen mous. Elles vivent à l'abri d'un
fourreau de soie tubulaire couvert de grains de sable, de
débris de coquilles, de brindilles ou de feuilles. La
plupart des larves sont herbivores, mais quelques espèces
mangent également de petits animaux aquatiques qu'elles
capturent dans des filets tissés avec leur soie et tendus
dans le courant. Après plusieurs mois de stade larvaire,
la larve bouche l'entrée de son fourreau et se
métamorphose en nymphe. À la fin du stade nymphal, la
nymphe monte à la surface de l'eau, l'adulte sort
rapidement et s'envole. |
Trichoptère Hydropsychidae
(larve et adulte) |
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Les larves campodéiformes vivent libres. Elles tissent des
filets fixes sous ou entre les pierres , dans les mousses.
Leurs caches sont formées de deux parties, la première
tournée vers l'amont crée une sorte de piège à nourriture,
de filet-pêcheur alors que la deuxième , qui s'ouvre par
un orifice situé au fond de la première "salle", est une
galerie cylindrique de 2 cm de longueur dans laquelle se
réfugie la larve. Cette galerie disposée obliquement par
rapport au courant est construite sur une couche de soie
avec des débris végétaux et des petits grains de sable. La
larve passe la majeure partie de sa vie calmement à
l'intérieure de cette retraite, elle capte ses aliments
amenés par le courant et immobilisés par le filets du
dispositif. |
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Diptères |
Les diptères
constituent un immense ordre d'insectes. C'est celui des
mouches vraies qui rassemble les tipules, les moustiques,
les taons, les syrphes, les tachinaires, les mouches
domestiques ainsi que de nombreuses autres familles. On
reconnaît cet ordre grâce à la seule paire d'aile qu'ils
possèdent, leurs ailes antérieures étant atrophiée sous la
forme d'un balancier minuscule. La vie adulte est toujours
terrestre ou aérienne, par contre, de nombreuses espèces
ont un développement aquatique, en particulier chez les
moustiques. Les larves de ces insectes ont
une forme cylindrique, un corps segmenté avec des appendices et/ou des
bourrelets locomoteurs, une
tête visible ou non. |
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Chaine alimentaire du poisson |
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Nourriture du poisson |
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1 -
Stylaria 18 mm |
12 - Larve
d'Ephémère |
2 - Colonie de Tubifex, vers de 40 mm
|
13 -
arve de Libellule :
Gomphus
25 mm
Anax 50
mm |
3 - Sangsue
Haemopis
7 cm |
14 -
Larve de libellule
Calopteryx
21 mm et adulte |
4 - Cocon 2mm + un ver nouveau-né qui en
sort |
15 -
Larve de Mégaloptère
Sialis
20 mm |
5 - Sangsue
Herpobdella
4 cm |
16 -
Larve de perles Nemura 8 mm
et adulte |
6 -
Gammare 18 mm |
17 -
Cloën
7 mm |
7 -
Leptodora
10 mm |
18 -
Caënis
5 mm |
8 - Copépodes
Cyclops
2 mm |
19 -
Adulte de
Cloën |
9 - Asellus 12 mm |
20 -
Ephémère adulte
Ephemera
21 mm |
10 - Daphnie
Daphnia
2 mm |
21 -
Heptagenia
11 mm |
11 - Ostracode
Candona
1 mm |
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A - larves de
trichoptères |
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1 -
Limnephilus
20 mm |
2 -
Limnephilus
Adulte |
3 -
Glyphotaelius
50 mm |
4 -
Anabolia
25 mm |
5 -
Gruneocia
8 mm |
6 -
Goéra
15 mm |
7 -
Molanna
20 mm |
8 -
Rhyacophila
20 mm |
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B - diptères |
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9a -
Culex.
larves 10 mm 9b -
Culex.
pupes
6 mm |
10a -
Corethra
larves 12 mm 10b -
Corethra
pupes 7 mm |
11a -
Chironomus
larves 12 mm 11b -
Chironomus
pupes 11 mm |
12a -
Simulium
larves 12 mm 12b -
Simulium
pupes 8 mm |
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C - Coléoptères aquatiques |
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13a - Acilius
16 mm 13b - Acilius
larve 30 mm |
14 -
Platambus
8 mm |
15a -
Hydrophilus
40 mm 15b
-
Hydrophilus
cocon avec les œufs 15c -
Hydrophilus
larves 60 mm |
D -
Bivalves / Mollusques |
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16 -
Bivalves
Sphaerium
8 mm |
17 -
Ancylus
6 mm |
18 -
Planorbe
Planorbis
25 mm |
19 -
Limnée
Limnaea
30 mm |
20 -
Vivipara
Viviparus
40 mm |
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Page
réalisée avec le concours de Mr Boulanger du C.S.P. - Mise à jour Patrick
Girault 10 août 2009 |
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